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CHARLIE CHAPLIN, cinéma, FBI, Immigration, J EDGAR HOOVER, USA
04 Saturday Mar 2017
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CHARLIE CHAPLIN, cinéma, FBI, Immigration, J EDGAR HOOVER, USA
08 Monday Dec 2014
Posted archives, BTS 1° ANNEE, DEBATE
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John Boyega has responded to racism after the first teaser for Star Wars: The Force Awakens was posted online.
The British actor, who appears in the clip dressed as a stormtrooper, told critics of his casting to “get used to it” on Instagram.
In the message he also thanked fans “for all the love and support” after the teaser was posted online.
His comments followed some questioning director JJ Abrams for casting a black actor in a seemingly prominent role.
One YouTube comment suggested the film “didn’t need some black Jedi”.
Another read: “Dear Black People, We are forced to include you into everything awesome we do.”
The official trailer has been viewed nearly 10m times since being put online on Friday.
Boyega, who has previously appeared in Attack the Block and 24, said: “A year is a long time to wait, but it will be worth it.”
Other Star Wars fans were quick to remind critics of Boyega’s casting of other black actors who have featured in the franchise.
Samuel L Jackson played Mace Windu in Episode I The Phantom Menace and again in Clone Wars, while Billy Dee Williams appeared as Lando Calrissian in The Empire Strikes Back and Return of the Jedi.
Stormtrooper analysis
Many fans have pointed out that there is no reason to believe stormtroopers couldn’t be black.
In the prequels – and let’s be honest Star Wars fans do not accept the prequels – Obi-Wan Kenobi travels to the planet of Kamino, where he discovers the existence of a clone army that would feed the so-called Clone Wars. But those clones weren’t necessarily white.
Bounty hunter Jango Fett, who served as the genetic template, was an ethnic “Mandalorian”. He was played by New Zealand-born actor Temuera Morrison, of partial Maori descent.
But even if he had chosen to pass himself off as white, Boyega’s “black stormtrooper” character would’ve existed in a time when stormtroopers were more than likely recruited rather than created from the general population.
Therefore stormtroopers could probably be of any race.
Also let’s remember that the events of Episode 7 take place more than 50 years after the Clone Wars. It may well be that the Empire, or what’s left of it, has changed its stormtrooper recruitment policy (perhaps as a result of having had its stormtrooper-defended Death Stars blow up a couple of times.)
It should also be pointed out Boyega may not even be a stormtrooper – he could be a rebel in a stormtrooper uniform, like Han Solo and Luke Skywalker in Star Wars Episode IV: A New Hope.
Hopefully it’ll all fit into place – just another year to go!
http://www.bbc.co.uk/newsbeat/30274359
07 Sunday Dec 2014
Posted 1° TU, 2NDE SEN, 2NDE TU, archives, BTS 1° ANNEE, BTS 2° ANNEE, T SEN, T TU
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En salles le 3 décembre 2014, le film “les Héritiers” est inspiré de l’histoire d’une classe de seconde de banlieue parisienne, lauréate en 2009 du premier prix du Concours national de la résistance et de la déportation. Pour l’Etudiant, les vrais élèves reviennent sur cette expérience marquante.
Scène tirée des “Héritiers”, avec entre autres Ariane Ascaride dans le rôle de la prof d’histoire-géo, et debout à gauche, Ahmed Dramé, scénariste et acteur principal. // © Guy Ferrandis / UGC.
Pour beaucoup d’entre eux, il y a “un avant” et “un après”. Au départ réticents à participer au Concours national de la résistance et de la déportation, les élèves de la 2nde histoire de l’art du lycée Léon-Blum de Créteil (94) se sont finalement surpassés, sous l’impulsion de leur professeure principale et d’histoire-géographie, Anne Anglès. C’est ce cheminement qui a inspiré “les Héritiers”, dont le jeune scénariste et acteur principal, Ahmed Dramé, est lui-même un ancien élève de cette classe.
En 2008, lorsqu’Anne Anglès propose à sa 2nde la plus “faible” de participer à ce concours, les élèves doutent. “On était le bonnet d’âne du lycée”, se rappelle Magalie, 21 ans aujourd’hui. Pour la majorité de la classe, l’expérience est d’abord vécue comme une contrainte. “On voyait ça comme du travail en plus”, se souvient Anaïs, actuellement étudiante en troisième année à Sup de co La Rochelle. “C’est aussi qu’on ne se sentait pas concernés par ce sujet”, avoue Nelson, aujourd’hui diplômé d’un BTS (brevet de technicien supérieur) électrotechnique.
Petit à petit, pourtant, les élèves se laissent apprivoiser. “J’étais opposée au concours, se souvient Magali, très rebelle à l’époque, illustrée par le personnage de Mélanie dans “les Héritiers”. Puis j’ai compris que des événements durs s’étaient déroulés. Ça m’a calmée.” La classe a aussi été séduite par l’encadrement de leur professeure. “Si elle nous a proposé ce concours, c’est qu’elle nous faisait confiance”, remarque Nelson, qui apparaît sous les traits de Max dans le film.
Magalie s’est aussi sentie valorisée. “J’étais mal vue de la prof au début de l’année. Puis, dans le cadre du concours, elle s’est intéressée à mon travail.” En 2008, le thème du concours s’intitule “Les enfants et les adolescents dans le système concentrationnaire nazi”. Leur rencontre avec Léon Zygel, qui fut déporté à leur âge, est une révélation. “Le fait que ce soit arrivé à des enfants m’a heurtée”, se souvient Anaïs. En écoutant Léon, Nelson prend conscience ” qu’il y a des problèmes plus graves dans la vie”.
Après des mois passés à éplucher des livres et à consulter des photos et des films d’époque, la classe rend sa copie… et remporte le Premier Prix. Grande émotion pour les élèves. “Recevoir un papier officiel avec votre nom comme lauréat, c’est impressionnant”, se souvient Nelson. “Ma réaction a été de me dire ‘Ah oui, quand même, on n’est pas si bêtes que ça'”, lance avec fierté Magalie. Bachelière littéraire, la jeune femme prépare en ce moment le concours d’officier de la gendarmerie.
“Maintenant, j’ai beaucoup plus de conversation sur le sujet”, réalise Anaïs, qui espère bientôt partir étudier à HEC Montréal. “Gagner ce concours, ça donne confiance en soi”, se réjouit Nelson, qui souhaite se lancer dans l’organisation de soirées. Même si le contexte n’a rien à voir, je me dis que si Léon n’a pas eu peur d’aller à l’encontre de personnes qui allait lui tirer une balle… je ne dois pas avoir peur d’organiser une soirée de 500 personnes.” Une leçon de survie devenue leçon de vie.
http://www.letudiant.fr/actualite/les-heritiers-les-eleves-qui-ont-inspire-le-film-racontent.html |